[J.02] SO Pont-de-Cheruy CC BB (11ème) - Mulhouse BA (7ème) : 82 - 80

Pour le match de St Vallier je suis pas sûr qu'au moment de la faute il ne reste pas 1 ou 2 dixième . Après c'est de l'histoire ancienne
Petite précision ( JLM ) également sur mon intervention pour relater les évènements de fin de match. Il n'y a pas que le tableau qui était faux mais également une erreur de la table de marque qui avait oublié de mettre le fanion signalant que nous étions dans la pénalité.
En finalité comme pour St Vallier c'est du passé, maintenant focus sur début janvier

C'est, en effet, de l'histoire ancienne...
C'est pour ca que j'ai mis en intro que je ressassais...

Poil de carotte a écrit:Pour le match de St Vallier je suis pas sûr qu'au moment de la faute il ne reste pas 1 ou 2 dixième . Après c'est de l'histoire ancienne
Petite précision ( JLM ) également sur mon intervention pour relater les évènements de fin de match. Il n'y a pas que le tableau qui était faux mais également une erreur de la table de marque qui avait oublié de mettre le fanion signalant que nous étions dans la pénalité.
En finalité comme pour St Vallier c'est du passé, maintenant focus sur début janvier

il y a des règles : on ne peut pas en N1 remettre en jeu s'il ne reste que 1 ou 2 dixièmes .ça été discuté l'autre soir lors du match Cholet Dijon , ça ne servirait qu'à gérer des conflits et il est impossible de marquer avec si peu de temps.
Merci Aurel pour ton point de vue impartial .

68bass a écrit:

Poil de carotte a écrit:Pour le match de St Vallier je suis pas sûr qu'au moment de la faute il ne reste pas 1 ou 2 dixième . Après c'est de l'histoire ancienne
Petite précision ( JLM ) également sur mon intervention pour relater les évènements de fin de match. Il n'y a pas que le tableau qui était faux mais également une erreur de la table de marque qui avait oublié de mettre le fanion signalant que nous étions dans la pénalité.
En finalité comme pour St Vallier c'est du passé, maintenant focus sur début janvier

il y a des règles : on ne peut pas en N1 remettre en jeu s'il ne reste que 1 ou 2 dixièmes .ça été discuté l'autre soir lors du match Cholet Dijon , ça ne servirait qu'à gérer des conflits et il est impossible de marquer avec si peu de temps.
Merci Aurel pour ton point de vue impartial .

Je crois que le minimum doit être de 3 dixièmes de secondes pour pouvoir remettre en jeu, en dessous il faut que le joueur soit déjà en l’air (claquette ou dunk).

Impartial pas tant que ça je fais juste un constat.
Au final il aurait juste fallu prendre ce rebond, ce qui n’a pas été le point fort sur ce match à Pont. Pour moi, c’était mieux que Pont ait eu 2 LF, vu qu’il restait une dizaine de secondes de jeu, ce qui permet une action de Mulhouse derrière, la preuve, on a réussi à finir par un 3pts...

Certes il y’a eu erreur de la table mais cela n’influence pas la perte du match.
Pour moi, la presse aurait dû être faite bien plus tôt, comme l’a également fait remarquer Hervé, le commentateur.

68bass a écrit:

Poil de carotte a écrit:Pour le match de St Vallier je suis pas sûr qu'au moment de la faute il ne reste pas 1 ou 2 dixième . Après c'est de l'histoire ancienne
Petite précision ( JLM ) également sur mon intervention pour relater les évènements de fin de match. Il n'y a pas que le tableau qui était faux mais également une erreur de la table de marque qui avait oublié de mettre le fanion signalant que nous étions dans la pénalité.
En finalité comme pour St Vallier c'est du passé, maintenant focus sur début janvier

il y a des règles : on ne peut pas en N1 remettre en jeu s'il ne reste que 1 ou 2 dixièmes .ça été discuté l'autre soir lors du match Cholet Dijon , ça ne servirait qu'à gérer des conflits et il est impossible de marquer avec si peu de temps.
Merci Aurel pour ton point de vue impartial .

68bass, tu me connais, j'ai vérifié...

Reglement FIBA a écrit:16.2.5 Le chronomètre de jeu doit indiquer 0 :00,3 (3 dixièmes de seconde) ou plus pour
qu’un joueur puisse prendre le contrôle du ballon lors d’une remise en jeu ou d’un
rebond qui suit le dernier ou unique lancer franc dans le but de tenter un panier. Si le
chronomètre de jeu indique 0 :00,2 ou 0 :00,1, seul un panier marqué en effectuant
une claquette ou en smashant le ballon directement sera valable.

Donc on joue avec moins de 3 dixièmes au chrono ...
D'ailleurs, NBA 2014 : claquette accordée avec 1 dixième au chrono.

Cette limite de 3 dixièmes semble très bonne, car je me souviens de Derek Fischer face aux Spurs qui réceptionne une touche et marque en 4 dixièmes...

oui mais avec remise en jeu sous le panier , ça le fait pas trop ....

68bass a écrit:oui mais avec remise en jeu sous le panier , ça le fait pas trop ....

Après une AS, la remise en jeu est au milieu de terrain...
Alley Oop ou claquette... Chaud mais pas impossible...

Après la courte défaite du MBA à Pont-de-Chéruy (82-80): Isère, misère
Les joueurs du Mulhouse BA (N1), qui retrouvaient la compétition après six semaines sans match, ont laissé filer la victoire d’un rien, vendredi soir en Isère, à Pont-de-Chéruy, où ils ont livré une prestation prometteuse, à l’image de leur pivot Cédric André, qui s’en veut pourtant terriblement.
Par Sandrine PAYS - 13 déc. 2020 / L'Alsace

« Franchement, je suis dégoûté. J’ai beau me répéter que le match ne s’est pas joué sur cette action, je ne peux pas m’empêcher de penser que nous aurions peut-être gagné si j’avais pris ce rebond… »

S’il y en a un qui a du mal à accepter la défaite concédée par le Mulhouse BA vendredi à Pont-de-Chéruy, c’est bien Cédric André. Le pivot de la formation alsacienne n’a pourtant pas grand-chose à se reprocher : avec 14 points, 4 rebonds, 4 contres et 3 fautes provoquées en 21’26’’ pour une évaluation de 17, il a rempli sa part du contrat. Il n’empêche, il s’en veut terriblement. Pour comprendre pourquoi, il faut se rappeler la fin de cette rencontre. Il reste une douzaine de secondes avant le coup de sifflet final et le score est de 79-77. Les Mulhousiens, encore menés de 14 points quelques minutes plus tôt (71-57, plus gros écart), sont toujours en course pour la victoire.

« À ce moment-là, Tommy Ghezala a deux lancers francs, raconte Cédric André. Il rate le premier. Je suis convaincu qu’il ne va pas rater le second et je me dis que si moi, je me loupe, si je touche la balle, je vais donner deux points à l’adversaire… Mais il le rate aussi. La balle rebondit deux fois sur le cercle et lui retombe dans les mains ! Je saute pour le contrer, mais il marque quand même, avec la faute en prime. Et on se retrouve à cinq points… Et là, je comprends que nous avons perdu. Si j’avais pris ce rebond, nous aurions eu une réelle chance de l’emporter. »

Les joueurs du MBA, qui renouaient là avec la compétition après six semaines sans match, auraient évidemment préféré rentrer de ce court déplacement avec un quatrième succès en poche, d’autant qu’ils s’étaient déjà inclinés d’un rien il y a quelques semaines à Saint-Vallier (64-63). « J’étais vraiment content de retrouver le terrain. J’avais les crocs, et je n’étais pas le seul », précise Cédric André. « Nous voulions tous bien faire, nous avons tout donné. »

« Nous avons manqué d’adresse à trois points »
Les Auvergnats, qui avaient repris une semaine plus tôt, à Besançon (79-77), aussi. D’où un match d’une rare intensité et d’un excellent niveau, avec des défenses athlétiques et engagées (en particulier dans le deuxième quart-temps), des attaques bien construites et très peu de déchets - avec par exemple 12 pertes de balle seulement d’un côté comme de l’autre. « Hormis un petit passage à vide dans le troisième quart-temps, durant lequel nous n’avons pas paniqué, nous avons globalement fait un bon match », reconnaît Cédric André. « Mais nous avons manqué d’adresse à trois points. »

Il ne faut pas forcément chercher ailleurs les raisons de cette défaite. Quentin Diehl et les siens n’ont marqué que 5 paniers sur 23 tirs derrière la ligne des 6,25 m (à 21 %). Dans le même temps, les hommes de Moatassim Rhennam ont réussi 8 de leurs 15 tentatives (à 53 %) - le meneur Malvin Ait-Alia, l’ailier Momar Ndoye et le pivot Cheick Soumaoro s’en sont donné à cœur joie avec un 6/10 à eux trois, alors qu’ils n’avaient pas particulièrement brillé dans cet exercice lors des quatre précédents matches de Pont-de-Chéruy (1/.

« Malgré ce manque d’adresse, nous aurions pu avoir le dernier mot », conclut le grand Martiniquais, avant de retrouver un semblant de sourire. « Nous ferons mieux au match retour. Nous le gagnerons, et de plus de deux points, histoire de prendre le panier average ! »

Sur ce que l’on a vu vendredi, la mission n’a rien d’insurmontable.

Cinq fautes à la place de quatre
13 déc. 2020 / L'Alsace

Jean-Luc Monschau s’est quelque peu énervé, vendredi soir à Pont-de-Chéruy, alors que le match touchait à son terme. « À 20 secondes de la fin, nous avons fait faute pour arrêter une contre-attaque. Nous n’avions alors que trois fautes d’équipe au tableau d’affichage. Et voilà que la table de marque annonce soudain qu’en fait, nous en avons déjà quatre et qu’il s’agit donc de notre cinquième faute d’équipe, ce qui signifie deux lancers francs pour Pont-de-Chéruy », explique l’entraîneur du MBA. « Et nous perdons de deux points… » « Ce genre d’erreur est insupportable », poursuit encore JLM tout en précisant que l’arbitrage, lui, a été « très bon ».

Gogol a écrit:Cela dit, je ne peux m'empecher de rester perplexe sur le  ce dernier LF manqué de Pont ... A croire que les gars étaient convaincus du 1/2 avant même que le shoot ne soit parti...

Cédric André a écrit:Je suis convaincu qu’il ne va pas rater le second

Quand je vous dis que je pue le basket...

Cédric André a écrit:Je suis convaincu qu’il ne va pas rater le second

Un peu comme si on disait : c'est pas la peine de soigner ,ça va guérir tout seul .....

La naivete dont parlait l'Esclave...